Biographie / Présentation
Je m’appelle Paul Eric Allegraud, je suis romancier.
Ma naissance, il y a un peu moins de 22 000 jours, n’a pas donné lieu à de grands articles dans les journaux… À cette époque, personne ne pouvait imaginer que je ferais un jour des salons littéraires. Moi-même, j’ai mis beaucoup de temps avant d’entamer le chemin qui m’a amené ici.
Mon enfance s’est déroulée dans l’insouciance relative qu’on attend de cette période de la vie, tout juste marquée par de trop nombreux déménagements qui m’ont poussé vers une certaine solitude. Solitude que je comblais de bouquins…
Plus tard, j’ai attrapé l’adolescence. Un drôle de truc plein de questions et de rage. Mes lectures aussi portaient dans leurs lignes les symboles de la révolte. Pour la plupart. Puis j’ai continué à avancer en âge, toujours en compagnie d’écrivains, passant de la science-fiction aux romans policiers, avec des larges détours vers une littérature plus générale.
Les livres m’ont aidé à me construire, la vie aussi. À travers mille expériences, mille rencontres.
À cause d’une sévère incompatibilité, sans doute d’origine génétique, j’ai été comme un corps étranger dans le système éducatif… il m’a assez vite rejeté ! Alors j’ai dû me débrouiller pour trouver ma voie, exerçant toute sorte de métiers, bien souvent des petits boulots sans autres intérêts qu’alimentaire, mais aussi d’autres dans lesquels je me suis épanoui.
Parmi ceux-ci, j’ai travaillé de nombreuses années dans le spectacle vivant, aussi bien sur la scène que dans les coulisses.
Toute ma vie, les auteurs ont été omniprésents. J’ai lu des millions de pages, des milliards de mots… Il fallait bien qu’un jour, je les rende ! En vérité, j’ai commencé de bonne heure à laisser sur des pages blanches quelques traces de mes pensées, mes interrogations. Ado, j’ai écrit des poèmes, essayant de suivre la trace de mes favoris : Rimbaud, bien sûr, et Baudelaire ou François Villon, pour les plus anciens, Aragon, Éluard, Breton, René Char ou Jean Malrieu chez les contemporains. Dans les années 80, c’étaient plutôt des sketches, lorsque j’apprenais mon métier de comédien, mais j’avais également entamé l’écriture d’un roman, toujours inachevé à ce jour. Dans la décennie suivante, j’ai fait une adaptation de Jacques le fataliste, de Diderot (Mon capitaine disait…) et la rédaction d’une pièce à partir du travail de mes élèves d’un atelier théâtre en milieu scolaire (La concierge est dans l’escalier).
On le voit, entre l’écriture et moi, ça a longtemps était une relation d’amant maudit… Je te quitte, je te retrouve. Ce n’est qu’assez récemment que notre histoire d’amour s’est stabilisée. J’ai commencé à écrire quelques nouvelles, que je partageais sur des réseaux sociaux, puis, poussé par des amis et une circonstance dramatique, ce qui avait commencé comme un jeu d’écriture est devenu mon premier roman.
Avec « Les Sbires d’Agouna », Poljack était né.
Il a été suivi de « La momie drômoise », fin 2015, puis « Les déesses de l’Indus », cette année.
Entre-temps, j’ai également sorti, sous le pseudonyme de Caudrilla Pleurage, un roman de science-fiction : « Valse Oddity ».
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